Saturday, October 1, 2011

QUAND LA DIASPORA ABANDONNE LE CAMEROUN


Le Cameroun a moins de dix ans pour changer ou bien il perdra la bonne volonté, le soutien, l'engagement et autres ressources stratégiques de sa diaspora. La génération qui  été dans son jeune âge dans les années 1990,  et qui a agi en tant que les soldats de la lutte pour le changement a mûri, mais est malheureusement à l'étranger. C'est la génération qui a le plus de zèle, sens de l'orientation qui a été damées au fil des ans, indéfectible sentiment de patriotisme, et ils ont une idéologie-politique  qui embrasse tout et  qui accueille tous les Camerounais, quelle que soit leur affiliation linguistiques, leur ethnicité ou leur tribu. Ce groupe qui n'a pas participé au viol du Cameroun aura 50 ans et 60 dans les dix prochaines années. Ce serait un moment où leur seule option serait de concentrer plus sur leur carrière, leur famille et une nouvelle vie à l'étranger --- ce qui est de tout laisser tomber sur le Cameroun. Ils auront à mener la lutte dans les prochains deux-cinq ans, ou bien ils et le Cameroun vont se trouver jetés dans l'oubli et le découragement politique.

La conscience politique de la diaspora se rapporte plus aux rêves, aux douleurs ou aux souffrances et aux frustrations de la jeunesse d'aujourd'hui qui sont censés être les soldats de changement dans la création  du  Cameroun Nouveau.

Politiquement, l'absence de la double nationalité et des incertitudes persistent même après l'octroi de droits de vote diaspora, pourrait les marginaliser de l'évolution politique du Cameroun qui va arriver à un point tournant dans les années à venir, comme l'exclusion et la nécessité les oblige à embrasser la citoyenneté de leur pays d'accueil. Inconnu pour beaucoup, il y a un bon pourcentage des Camerounais qui, bien que qualifiés d'obtenir la nationalité étrangère, a été hésitants, conscients des blocs de route de la double nationalité.

Socialement, le développement de la culture au Cameroun, centrée sur la corruption, la mauvaise gestion, de la division (le tribalisme, le népotisme et le favoritisme), se sépare le Cameroun de la civilisation mondiale que la diaspora s'identifie. La diaspora actuelle peut gérer à sa façon de naviguer quand ils viennent à domicile pour les affaires, mais la jeune génération dans la diaspora, en particulier ceux qui sont nés à l'étranger, dont le lien avec le Cameroun est à travers les yeux de leurs parents, seront complètement perdus si leurs parents se désengager de Cameroun dans cinq à dix ans. Ils se concentrent entièrement sur la construction d'une nouvelle vie à l'étranger pour eux-mêmes et leurs descendants.

En un mot, si le système reste en place au sein de la prochaine cinq à dix ans, et la diaspora né dans les années 1960 et 1970 atteint l'âge de la retraite alors que leurs enfants sont tous des adultes et dépourvu de toute affiliation réelle au Cameroun; cette génération fiable de la diaspora sera très probablement abandonner la lutte for Le Cameroun Nouveau.

L'auteur, Janvier Chando (un écrivain camerounais avec plusieurs livres publiés qui vit dans les États-Unis --- Plus de son point de vue peut être lu sur sa vision du monde des tourbières: http://world-tobe.blogspot.com). L'article a été écrit à Yaoundé le 01 Août, 2011. Publié par  This is News, un journal au Cameroun.

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