Monday, October 31, 2011

THE DEPRAVITY OF PULLING OUT THE ANTI-ANGLOPHONE OR ANTI-FRANCOPHONE CARD

It is a sign of weakness of our argument when we pull out the linguistic-divide card in Cameroon. It is easier to fall back on stereotypes or preconceptions and use it to fault an entire people (Anglophone or francophone, region, ethnicity, fondom, village, etc), thereby absolving ourselves and the people we identify with of any fault.



The current situation we find ourselves in   has been brought about by the power play of the French-imposed system (1/ The Aujoulatist- Foccart-Ahidjo- Biya stream submitted to France---as described by Mr. Bedzigui),openly  and tacitly supported by collaboration  from elements of the Anglophone  and pseudo-nationalists groups. And then there are the UNION NATIONALISTS WITH THE REVOLUTIONARY ZEAL who have never conciliated and will fight the system to the bitter end. Cameroonians of all ethnicities, religions and linguistic affiliations can be found in all of the four groups mentioned above. The majority of these Cameroonians are subconsciously revolutionary and proudly union-nationalistic . Unfortunately, our country lacks a national ideal and a genuinely revolutionary/union nationalist party that this majority can identify with and follow.   Spelling out that national ideal and creating that movement should be our task in this Fourth Phase of the Cameroonian Struggle.


So it disheartens me when I see advocates of change retreating into their false cocoons(ethnic, tribal, linguistic and religious), brand it as righteous and devoid of any faults; and then brand others who are not there as the enemies who are to be blamed for everything. They even lump up the revolutionaries and union nationalist there too, because it suits their purpose.  By using the stereotyping card against Francophones, Francophone bashers then tend to exonerate Anglophones who are a part of the system or who are collaborating with it, and so give a saintly portrayal of the Anglophone group. This is a mindset I have seen used by Anglophone bashers as well. It has also been used by ethnocentric Cameroonians who condemn entire ethnic groups at a whim, yet scream their lungs out if another ethnic basher like them uses the same ploy against their ethnic group or region. And by falling into that stereotyping mindset which fundamentally is self-deception at its worst, we condemn ourselves from being a part of the broad coalition that will change Cameroon. This article gives an insight.  HOW COMMITTED ARE WE IN THE STRUGGLE TO CHANGE THE SYSTEM:

Advocates of change in the fourth phase of the struggle need to be true to themselves and accept historical revelations, even if it is coming from people we don't like. There is a grain of truth---in fact a lot of it, in what Bedzigui said happened during the 1997 talks. That was the time the SDF Chairman started leading the party into a political suicide and let down the revolutionaries and union nationalists in the party. That was the time the SDF started losing its soul.

The greatest ingredients in the healing process are acceptance of the problem and the will to surmount it and become something new and better. And unless advocates of change start that healing process, learn from our failures in the first, second and third phases of the struggle; we might not be able to muster the  momentum to change the system (under the Biya regime or its future  successor).

If you ask me, my take is that the political problem in Cameroon is not between Anglophones and Francophones. The problem is systemic. True the system is dominated by Cameroonians of the Francophone culture, but they do not command even up to 10% of the political support of the Cameroonian people. Whoever uses the Anglophone or Francophone card is using it as a ploy that has no links to the Cameroonian social reality.

Janvier Tchouteu                                                                              October 31, 2011    

 



                                                                                  

Tuesday, October 11, 2011

LA FIN DE LA TROISIEME PHASE DE LA LUTTE POUR LE CAMEROUN NOUVEAU:


Le mascarade  de 09 Octobre, 2011, que on appelée élection présidentielle a marqué la fin de la troisième phase de la lutte pour le Cameroun Nouveau, avec la défaite totale de l'immense majorité des Camerounais. La défaite était par les mains du system anachronique française imposée sous le régime fantoche de Paul Biya. Les ennemis visibles et cachés du changement qui sont composée des partis d'opposition artificielle et des partis d'opposition qui manquait un sens de direction, n’ont plus des cartes à tirer pour convaincre les Camerounais qu'ils sont toujours pertinents dans la quatrième phase de la lutte qui serait dirigé par le générations post-indépendance.

Et maintenant, la quatrième phase de la lutte pour le Cameroun Nouveau commence. Le but du système en ce moment est de permettre à Paul Biya à toiletter et remettre le pouvoir à un successeur qui, dans la durée du nouveau mandat sera consolider le pouvoir et empêcher les partisans de la vision d'un Cameroun Nouveau ((les union nationalistes, les révolutionnaires, les démocrates, les patriotes et même les croyants déçus du Cameroun Nouveau) de jamais arriver au pouvoir. De cette façon, nous verrons la poursuite du système mafieux. Là-bas serait nations et des groupes d'entreprises qui attachent beaucoup d'importance à l'intérêt personnel que de valeurs. Ces forces sont susceptibles de reconnaître la mascarade par Paul Biya parce qu'il est rentable de le faire. Mais nous ne devrions pas être désillusionnés ou aveuglé par ça. Au lieu de cela, nous devons apprendre d'elle.

Le régime Biya est simplement le visage du système, ou la pointe de l'iceberg. Hier, le régime Ahidjo était tout simplement le visage du système mis en place par De Gaulle et agité par Jacques Foccart. Demain, il y aura un autre visage du système après le départ de Biya. Il pourrait être un autre Beti, un autre Foulani (Peul), un Bamiléké, un Ngemba, un Bakwerie, un Bayangi, un Maka, un Kotoko, un Toupouri, un Bamoun, une Bali, un Bakossi, un Bassa, un Musgum, un Muturwa, une. Gbaya, une chute, un Gidar, un Chamba, un Dii, un Vute, un Baka, un Tikar, un Banen ou même un Bata Mais quel qu'il soit, il serait de servir le système mis en place par la France. Il serait travailler contre l'intérêt de l'immense majorité des Camerounais, et même contre l'intérêt de son groupe ethnique. Toutes les âmes patriotiques et toutes les âmes humaines ne devraient jamais accepter la continuation de la tromperie.

Le Cameroun n'est pas un pays qui ne peut pas être libérés. Je crois que le Cameroun nouveau qui a été le cri de guerre du peuple au cours des six dernières décennies sera réalisé avant la fin de cette décennie. Mais il serait beaucoup plus facile et inclusif de tous les Camerounais, si nous mettons de côté notre sens injustifiée de la division (Anglophilism, Francophilisme, anti-Bamilekeisme ou anti-Tongtuisme, anti-Betisme, anti-Fulanisme, anti-Bassaisme, anti-Bamendrousime, cam-no-goisme, anti-Sawaism etc.); si nous adoptons la noblesse de l'âme camerounaise et si nous nous dissocions des maux dans notre milieu qui pourraient être nos frères et sœurs, nos parents, nos compatriotes ethniques, ou des locuteurs de la langue officielle que  nous identifions avec.

Dans l'avenir, la plupart de nos enfants seraient à peine d'identifier avec les groupes ethniques de leurs origines ancestrales. La plupart d'entre eux seraient nés hors de leur patrie ancestrale. Ils s'identifient comme Camerounais. Et la plupart d'entre eux seraient nés dans les villes et villages de mariages inter-ethniques ou des relations inter-ethniques. C'est la tâche de notre génération de créer le Cameroun  Nouveau que l'évolution sociale du Cameroun a déjà fait, afin d'empêcher l'aliénation de nos enfants de notre belle patrie. Dans environ un demi-siècle à partir de maintenant, l'affiliation tribale serait grâce à un effort conscient par nos petits-enfants.


Si nous regardons tous les concurrents majeurs dans cette mascarade, nous remarquons qu'ils sont nés et ont grandi dans leurs patries ethniques. Ils pensent encore que locale. En outre, ils se font des illusions que leur façon de clocher de regarder la vie et le destin du Cameroun est le reflet fidèle de la réalité camerounaise. Il est vrai que la réalité camerounaise a été détournée politiquement, mais l'évolution sociale du pays ne peut pas être arrêté.

Il est notre place en tant que défenseurs du Cameroun Nouveau à mettre de côté nos préjugés injustifiés, juge ceux qui ont fait possible cette mascarade, à nous dissocier de leurs manières trompeuses, puis joindre les mains dans la construction de l'embrasement des forces qui se rendraient compte du Cameroun Nouveau. La nature scientifique des choses montre que le système n'est pas durable, mais nous ne pouvons pas lui permettre de s'attarder à sa mort tout en noyant nous et le pays dans le processus.

Combien de temps nous démontons ce système dépend de combien de temps les Camerounais vont surmonter leur léthargie politique, leur préjugés sociaux, leur mentalités infectés par le système et  leurs associations irrationnellespuis embrasser l'idéal tout compris de l'Union-Nationalisme Camerounaise qui n'a jamais trahi au cours des 100 dernières année, et que le système a combattu sans pitié ; car il va faire du Cameroun un  nation juste, solidaire, bilingue, progressiste, démocratique, libéral, libre et avancé qui serait une incarnation de l'humanisme pour une Afrique qui sera intégrée politiquement et économiquement unifié.


October 12, 2010                                                      Janvier Tchouteu

Janvier Tchouteu, auteur de

LES HÉROS TOMBÉS: Les Dirigeants Africains dont les Assassinats ont Désorganisé le Continent et ont Profité aux Intérêts Etrangers eBook : T. Chando, Janvier, Tchouteu, Janvier: Amazon.fr: Boutique Kindle »


LE CAMEROUN: Le Système de Marionnettes Dysfonctionnel de la France en Afrique (French Edition)