Saturday, December 31, 2011

LA CAUSE QUE NOUS AVONS CHOISIE



Les union-nationalistes du Cameroun sont les patriotes avancés et les Camerounais humanisé qui acceptent l'utilisation des méthodes révolutionnaires, des méthodes réformatrice et /ou des méthodes évolutive dans les circonstances appropriées pour atteindre le meilleur pour le peuple Camerounais. Les union-nationalistes se sentent tellement pour le bien-être et l'avenir de la terre et le peuple Camerounais qu'ils sont prêts à s'engager dans une lutte prolongée contre le système rétrograde dans le pays, plutôt que d'accepter la conciliation qui continuent de priver les gens de leur liberté, leur dignité, liberté et d'espoir.

Celui qui a le Cameroun à cœur ; celui qui se lamente sur la vulnérabilité pathétiques du pays, sur son esclavage, sur son découragement et  sur sa maladie ; celui qui ne peut pas se permettre de vivre dans l'indifférence ; et celui qui ne peut pas vivre sans penser, sans comploter et sans travailler, et sans travailler à débarrasser Cameroun de l'esclavage suffocante provoquée par le système Français-imposées devraient se considérer comme un union-nationaliste.
  • En considérant la révolution comme un outil de changement, le union-nationaliste accepte que nous devrions détruire ces structures, ces institutions et ces concepts qui sont répressives, égocentrique, anti-gens, et qui ne fonctionnent pas, et alors nous devrions créer de nouveaux pour remplacer les entre eux.
  • Les union-nationalistes acceptent également le chemin réformatrice dans des situations qui exige l'amélioration ou l’amélioration des structures, des institutions, des liens, et des concepts qui sont actuellement dans l'existence, de sorte que le bien-être de la population serait améliorée à un état qui est un beaucoup mieux que leurs situations actuelles.
  • En outre, en mettant à profit le processus évolutif du changement, l'union-nationaliste s'étend le pragmatisme à outrance, en acceptant le fait que les changements peuvent aussi évoluer en ligne avec le rythme de la nature.

Si nous plions nos têtes, si nous mis de côté notre égoïsme et de l'égoïsme et si nous sincèrement cherchons des réponses à la situation camerounaise, nous observons avec une clarté aveuglante que les différents aspects de la maladie nécessitent des remèdes qui sont révolutionnaires, réformatrice et évolutive; tous en fonction sur l'étendue de la maladie mis en évidence.

Permettez-moi d'inventer un mot pour les union-nationalistes qui acceptent la révolution, la réforme et l'évolution comme les voies à poursuivre afin d'apporter les changements progressifs que le Cameroun a besoin. Je vais appeler une telle personne un revomationist.

Oui, la majorité des Camerounais ont choisi la voie de revomation. Il est incarné dans le nationalisme Kamerunian centenaire, qui a incorporé le préfixe «Union» après la partition de l'Kamerun Allemagne historique après la Première Guerre Mondiale. La lutte est devenue révolutionnaire, en plaidant pour la réunification et l'indépendance après la Seconde Guerre mondiale.

Oui, le nationalisme camerounais a été conçu en 1910, presque une décennie avant la partition de Kamerun allemand, une conséquence cauchemardesque de la défaite du maître coloniale--- L’Allemagne, encore  aggravée par le système français imposé , un système anachroniques qui a suivi la réunification du Cameroun et l'indépendance trompeuses. Les conséquences du système anachronique étouffent les efforts des union-nationalistes aujourd'hui.

Pourtant, nous ne sentons pas vaincu. Nous comprenons que nous avons rencontré des revers. Nous nous sentons invaincu depuis l'époque de l'administration coloniale de L’allemande. L'exécution de nos premiers leaders nationalistes sous les noms de Martin Paul Samba (Mebenga Mebono) et Rudolf Douala Manga Bell ne nous a pas arrêté. L'exécution a entraîné conduit à l'accumulation d'énergie qui a fait renaître le nationalisme camerounais, 34 années après, avec la distinction qu'il a cherché avant tout à réunir les Kamerun Allemand partitionné. C'est cet union-nationalisme qui avait les objectifs de rassembler les peuples de l’ancienne  Kamerun Allemagne dans une société libre, démocratique, prospère, libéral et humanitaire qui a été écrasé  pendant dix ans de guerre contre la France et usurpateur Ahmadou Ahidjo. Le résultat était alors la réunification partielle du Kamerun allemand et une quasi-indépendance pour la terre qui, même aujourd’hui, porte la marque d'une déception colossale.

Oui, malgré la déception et le revers de nos objectifs, nous avons fait des progrès dans le cadre précaire de notre union-nationalisme. Nous avons souffert des incendies de nos ennemis, mais nous avons été implacable dans la poursuite de nos objectifs. Nous savons que même si les ennemis de l'Union des nationalistes du Cameroun sont forts, ils ont peur de la nature humaine et englobant de l'idéal national. Ils savent qu'ils ne peuvent pas vaincre l’union-nationalisme Camerounais à moins que le peuple camerounais leur permettent. Jusqu'à présent, le peuple camerounais n'ont pas renoncé malgré le prix élevé payé pour défendre l'idéal. Le prix a été si fort que certains Camerounais ont été tentés d'adopter des idées alternatives après l'échec de la guerre par l'UPC (Union des Populations du Cameroun) contre les forces (Ahidjo-Alliance Française) déterminé à garder le Cameroun dans la servitude. L'attrait de la conciliation a atteint des sommets après le génocide Franco-Ahidjo qui a coûté plus d'un demi million de vies camerounais. Après cette guerre, un bon nombre de Camerounais est devenu convaincu que le pays pourrait être géré à devenir une grande nation par une autre voie dictée par l'esprit des hommes impérialistes à Paris et leurs marionnettes et collaborateurs qui constituent le système camerounais. Trente-sept années de la règle de Ahidjo-Biya a prouvé que les conciliateurs avaient tort.

Aujourd'hui, même les sceptiques et les cyniques qui pensent encore du Cameroun, avec un bon cœur acceptent le fait que le salut du Cameroun réside dans l'exploitation de la doctrine de son union-nationalisme afin de reconstruire notre nation potentiellement grande. Nous ne devons pas permettre les ignorants, les  auto-centrés  et  des Camerounais non engagé pour nous distraire avec des cris d'une direction alternative.

Oui, nous marchons sur le chemin difficile de espère battues, conscient du fait que nous pouvons atteindre l'objectif de notre cause que si nous restons unis dans notre union-nationalisme. Nous sommes lassés par les attaques de nos ennemis désespérés, mais nous avons décidé de les confronter et de les empêcher de garder nos espoirs dans le marasme où il a été depuis des décennies. Donc, vous ne devriez pas nous reprocher, si vous êtes incapable de défendre l’union-nationalisme Camerounais; ne pas le faire même si vous êtes contre le système ; et même si vous êtes contre le système. Nous savons que la cause exige un prix élevé, mais nous allons la poursuivre, plutôt que d'accepter la conciliation au cours des longues années d'injustices, de sous-développement, de découragement et  de discrimination. Les union-nationalistes du ne serait même pas accepter l'offre pourrie de céder une fraction de leurs espoirs, leurs rêves et leurs intégrités. L'objectif de l'union-nationalisme est d'obtenir pour les  Camerounais des choses qu'ils méritent --- leurs espoirs, leur avenir, leur dignité et leurs opportunités. Ce sont des exigences que la raison ne privent pas n'importe qui, même ceux qui sont contre eux.

Alors, ne vous battez pas contre nous, car nous allons vous battre. Ne pas nous reprocher parce que vous êtes indifférent ou consentante parce que vous n'avez rien à offrir. Ne pas essayer de nous détourner ou nous empêchent avec vos options futiles et les actions lâches en haranguant sur les grand mot de la paix, parce qu'il n'y aura pas de paix quand nos gens sont empêchés d'espoir ; et si il sont privés de leur dignité, leur avenir et leur paix d'esprit. Si vous persistez, alors nous sommes obligés de se battre non seulement contre les ennemis tirent sur nous, mais même contre vous, qui consciemment ou inconsciemment nous avez leurre dans le feu de nos ennemis internes et externes. Nous reconnaissons le fait que nous partageons un passé commun avec nos ennemis et que notre avenir promet d'être meilleure si nous travaillons ensemble pensant des avantages mutuels, mais nous n'accepterons jamais une relation qui est dépourvu de rationalisme et l'humanisme.


Janvier Tchouteu                                                             Janvier  28, 1995




Friday, December 30, 2011

JOINING THE SYSTEM IN A UNION GOVERNMENT WITH THE BIYA REGIME


Joining the Biya regime in a union government? Madness, absurdity to the furthest degree and treason to the patriotic objectives of the struggle. True the majority of Cameroonians want change and the struggling masses are mature in their political manifestations. But once again, they may find themselves betrayed by their political leaders who would be there for their interests only by engaging with the Biya regime.
Unfortunately, all the parties mentioned above (the current opposition) are not revolutionary and lack the far-embracing union-nationalist ideals that epitomize the struggling masses. The union nationalists in the SDF leadership quit the party when Fru Ndi and his mafia made a deal with the CPDM following the 2002 Parliamentary and Council elections. So I won't be surprised if the present Fru Ndi-led SDF completely takes off the mask and join the government. But then, it would be the final treason, and it would be the duty of Cameroonians from all regions, ethnic groups, tribes and provinces to condemn and reject them, because they too like the Biya regime would have made themselves fully as obstacles to the struggle to realize a free, united, liberal, democratic, progressive and economically promising New Cameroon.

Even so, it is about time Cameroonians identify the commitment of their leaders to the struggle to change Cameroon. Most of those mentioned fall under the category of moderates and liberals. None are union nationalists. That is why they talk of “in politics “instead of "in the struggle".
Politics involves interests. Practical politics involves interest groups against one another in a functioning system (a democracy). We don't have a democracy and the struggle is about changing a system to make politicking, and hence competition possible. Changing a system is revolutionary. And the real struggle in Cameroon is changing the anachronistic French imposed system that was put in place under Ahidjo and is being maintained by the Biya regime, a system that betrayed the ideals of reunification and independence.


Tuesday, December 20, 2011

THE HOLES IN THE VERDICT AGAINST SAMUEL ETO’O AND HIS TEAM MATES:

In one of my 1994 articles entitled WHO THE ENEMIES OF THE PEOPLE ARE AND HOW THEY ARE FIGHTING AGAINST CHANGE: , I listed the self-centered flag-bearers as the number seven in the list  of groups working against the interest of the New Cameroon that would be free,  progressive, democratic, liberal, united, advanced and respectful of human values. I listed them as a group helping to ensure the survival of the anachronistic, corrupt, repressive, undemocratic, cheating, oligarchic and retrogressive French-imposed system currently under the Biya regime when I wrote:

7) Depressing as it may sound, another set of enemies of the people is the self-centered flag bearers. These are our artists, players, writers, scientists and representatives of Cameroon abroad who in the quest for glory conceal the plight of the Cameroonian people behind the façade of success. They would not stand by the people if it means working against their interests at home and abroad.

The action of Samuel Eto’o and his team mates of not traveling to Algeria for a friendly last month is the most patriotic and revolutionary the country has seen in a while.  They did what most of Cameroon’s discredited opposition parties failed to do against Paul Biya’s election masquerade last October 09, 2011. They walked out of the largely ignored farce by a cheating mafia of a system that has been feeding off the glory of Cameroon’s most achieving sector (its footballers). Our football stars have been giving the Biya regime some semblance of achievement over the past three decades. By openly refusing to play, the country’s national football team sided with the people and rejected the evil ways of the system and the Biya regime.

No system in Africa or the world has taken its people for granted as much as this six-decade old mafia. From  killing Cameroonians in one of the world’s most untold crimes against humanity to  denying the people a voice in the affairs of the land; denying them  their history; denying them economic and social  opportunities; to  denying them the  option of even  seeking a redress to their plights.

For a country that is known internationally for one thing only--- its football prowess, one would have thought the evil system would invest in the only functioning Cameroonian group that gave it some respect at home and abroad. No, they have not. The arrogance of this system goes to the point where fifty years after Cameroon’s reunification and independence, the country can not boast of a stadium that meets international standards. Africa’s number one football playing nation is incapable of hosting the continent’s nation cup when small nations like Equatorial Guinea are doing so. Yet, it is no secret that government thieves have made fortunes from the country’s football legacy.

The complaints from the players are not a phenomenon of today. It has been persisting for more than thirty years. The first time it became public was in the 1990 world cup in Italy, in a rebellion led by Joseph Antoine Bell. Our patriotic, nationalistic and football-loving Cameroonian players put aside their grievances and made the country proud by going as far as the quarter-finals and securing the fifth position for Cameroon. It  became public again in the 1994 world cup with the information minister Augustine Kontchou claiming that the suitcase of money he had for the players’ allowances got missing while he was on the plane. Cameroon underperformed several times after that due to the corrupting influences of the Biya regime spilling over to the country’s national team. The 2010 world cup became a glaring case in point. And today, Cameroon even failed to qualify for the African Nations cup--- the first time in more than thirty years.

When our footballers play out of the country, they are our champions fighting for the glory of our country. They are like our soldiers at the front in a war. Lying to them, depriving them of support  and cheating them  is like depriving soldiers at  the  war front of  ammunition, leadership and a plan. It is like directing them at the fire of their enemies. The authorities subject the players to ridicule. And when soldiers abandon a fight due to the  corrupting influence of their officers and the government, they usually turn against the system and bring it down. Russian flag-bearers in the form of its soldiers  forced the czar to abdicate and  usher in the Russian revolution when they got fed up with the system for sending them to the slaughterhouse at the war front during the First World War.  The harsh reaction of the Cameroonian  authorities  towards the protesting action of  Samuel Eto'o and his team  mates is a reflection of their fear than their rationale.

Fyodor Dostoyevsky once wrote that “…The degree of civilization in a society can be judged by entering its prisons…”

In the case of Cameroon, the ongoing malady in our football and the national team is a reflection of the putridness of the Biya regime and the anachronistic French-imposed system.  The action of our national team players is a cry for help by the only group of patriotic voices left that the system is determined to crush too.  The actions by our players is their only way of  telling us that  they do not want to lose their love for Cameroon and  become like the  custodians of the system that  is suffocating them. Punishing our players instead of those who caused them to take such a stand is an act of injustice that those responsible might have to answer for one day. The 90+% of Cameroonians who reject the system and the Biya regime should come out and voice  their protest against  this government of thieves and liars that is punishing our patriotic footballers for exposing their mafia.





December 20, 2011                                                                Janvier Tchouteu



Janvier Tchouteu is the author of " The Mistakes To Be Avoided in Building The New Cameroon"

Monday, December 5, 2011

RESPONSE TO A SOUTHERN CAMEROONS ADVOCATE

In my October 11 2004 reply to a compatriot over the SCNC issue, I wrote,

Hello my dear compatriot. I can understand your deep frustration. It is easy to blame others except ourselves. Self criticism is indispensable in any struggle. We failed in this third phase of the struggle because our leaders had not fully mastered the essence of the struggle, because they were not fully committed and because they lacked a national ideal or call it national ideology.

Now, over to Southern Cameroons. I was born and raised in the South West province and partly spent months every year in the North West since the age of eleven, was at the fore-front of implanting the SDF in the Southwest, worked for the party at all levels, and Akwanga Ebenezer (National president of SCYL) is my friend from the days when we started thinking political in secondary school. We were involved in a mission in 1991 and I spent two months in jail, to be released under the terms of the TRIPARTITE, and of course, I was no longer allowed back into the university. I blamed the system, and not Francophones for the mess that Kamerun is today and I consider all the different Kamerunian peoples as victims of the system. Akwanga Derek Ebenezer, my friend, later believed the problem was Francophones. I understood him after his hurt, but I do not accept his identification of the enemy. Most of SDF's supporters (70-80%) were Francophones and the party was largely funded by Francophones (more than 80%). Betrayals in the SDF over the essence of the struggle came mostly from Anglophones, leaving the SDF, the mess that it is today. In the SDF Anglophones in the leadership betrayed their francophone counterparts and not the other way around. I suggest you read "HOW COMMITTEED ARE WE IN THE STRUGGLE TO CHANGE THE PRESENT SYSTEM?" Check out Number 3. You will have a better insight from that.

Reunification was the right thing to do, but it has been badly managed because those who fought (Francophone union nationalists) and those who worked (Anglophone union nationalists) never got to power to manage it.

We have to work together as union nationalists to realize the total, complete and universal change for kamerun.

Have a nice day.

Janvier Tchouteu






--- Bamenda Women wrote:
>
> There is just one hope for southern
> cameroonians,are they prepare to fight for thier
> independece ,if so how prepare are they?.is there
> any ground work ready for that?i enjoyed your
> articles bye
>
>
> ---------------------------------
> ALL-NEW Yahoo! Messenger - all new features - even
> more fun!