Un spectre se profile dans la vie de
tous les enfants Camerounais—les homme ou les femme. C'est le président qui vit dans le pays au
milieu de l’Afrique, la terre qui est souvent décrit comme le microcosme du
continent. Le spectre, c’est président
Paul Biya du Cameroun. Lorsque des
rumeurs se répandent comme une traînée de poudre en Juin 2004 qu'il venait de mourir, il y avait des
scènes de liesse répandues dans tout le demi-million de kilomètres carrés du
territoire appelée Le Cameroun. Quelques jours après, il est rentré de
l'étranger où il avait passé par intermittence environ six mois chaque année
depuis plus de deux décennies, et il a ensuite déclaré aux sycophantes
attendant de le recevoir à l'aéroport qu'il y aurait un... "Rendez-vous
dans 20 ans avec ceux qui me veulent mort..."
Les Camerounais ne sont pas les seuls qui lui ont mécru
lorsqu'il a fait cette déclaration, entre autres choses. Beaucoup de ceux qui suivent les
développements politiques dans le monde en général et en Afrique et au Cameroun
en particulier, étaient étonnés de son audace.
Après tout, plus de 80% de la population Camerounaise détestait son
règne; il était déjà au pouvoir depuis plus de deux décennies comme le chef de
l’État, après avoir été Premier Ministre du pays (1972-1982), ou comme la deuxième personne la
plus puissante dans le système mis en place par la marionnettiste (La France).
Mais Paul Biya a prouvé que tout le monde n’était pas correct de leur
avis de lui. Il réalisera une autre mascarade électorale et se déclara
vainqueur des élections présidentielles
en Octobre de 2004, et puis il a modifié la constitution du Cameroun en
2008, pour lui permettrait de briguer a deux autres mandats présidentiels de 7 ans
(malgré la mort de 150 Camerounais—qui ont proteste et qui ont été tuer,
une tragédie causée par ses forces des armes ),
ce qui signifie qu'il pourrait être président jusqu'à l'année 2025 (un record de 43 années au pouvoir ) quand il
serait âgé de 92 ans. Au moment que Biya
a tenu une autre mascarade appelée élection présidentielle en Octobre 2011, il avait déjà humilié avec succès les chefs
de l'opposition qui sont reconnus au niveau international (les soi-disant leaders de l’opposition sont tous
les anciens membres du parti unique du pays de 1972 à 1990, une partie que Paul
Biya a dirigé depuis 1984 ), a promis de
leur donner des positions dans son gouvernement, et il a fait savoir en termes
clairs que le système et le marionnettiste (France ) ne permettraient jamais un
changement politique au Cameroun.
Le vieux de 81 ans,
Paul Biya, est diversement
décrite comme le Maradona (il simule et
remporte les élections, tout comme
Maradona a truqué et a marqué un but
avec sa "Main de Dieu ") de la politique Camerounais et Africains,
le maître de la parricide présidentielle (il dévorait son prédécesseur qui a remis le
pouvoir à lui— menant a l’exile du premier président Camerounais Ahmadou Ahidjo, le conduisant à sa mort et son enterrement à l'étranger (le Sénégal ),
le président absent, le président
vindicatif, le président mal, etcetera, etcetera.
Pendant son histoire comme une colonie Allemande depuis
1884-1916, le Kamerun a été considéré comme une “Perle d’Afrique » pour son
économie robuste et le taux d'alphabétisation le plus élevé dans le
continent. Malgré la période
d'instabilité au cours de la guerre de libération qui a pris fin quand les
maîtres de tutelle (la France)ont remet
le pouvoir à ceux qui n'ont jamais demandé et n’ont jamais se sont battus pour
le pouvoir (les marionnettes qui
constituent le système impose sur le Cameroun, malgré la récupération de son
agriculture et la découverte du pétrole dans les années 1970 qui a aidé le Cameroun
à émerger comme le huitième plus grande économie de l'Afrique et la deuxième en
croissance la plus rapide du monde au
début des années 1980, le Cameroun est aujourd'hui dans une forme horrible. Les
économistes s’attendaient l’économie Camerounais à croître vingt fois au cours
des trente prochaines années, mais l’économie n’a pas réussi à doubler. Tout a changé après Paul Biya a été remis le
pouvoir en Novembre 1982 par le premier président Français installé Ahmadou
Ahidjo. Depuis lors, le Cameroun a connu le plus grand détournement des fonds
publics (proportionnellement) à un
rythme qui n'a jamais été vu en Afrique. En fait, le Cameroun de Paul Biya
détient le record en tant que le pays en Afrique qui a connu le pire appauvrissement
en temps de paix depuis 1960.
Aujourd'hui, Paul Biya
est à la tête d'un pays où plus de 80% de ses médecins sont à l'étranger, où plus de 90 % de ses titulaires de doctorat
sont à l'étranger, où les Camerounais
investissent à l'étranger plus que chez lui,
où les Camerounais votent contre
le système avec leurs pieds; aujourd’hui, les voisins du Cameroun qui,
auparavant, enviaient le pays en raison de ses niveaux de vie élevés et
donc ont considéré le Cameroun comme un lieu de refuge et de possibilités, trouveraient maintenant que les Camerounais les envieraient car ils vont de l'avant avec
un sens de l'orientation alors que le Cameroun est en retard dans sa spirale
vers une déclin économique, sociale et
politique qui est totale, complète et
terrible.
Les gens qui sont peu familières avec la situation Camerounaise
se demanderont pourquoi une telle situation catastrophique persiste au Cameroun. Eh bien; la réponse est simple. Le Cameroun
se trouve aujourd'hui dans une situation comme quelqu'un dans un sable mouvant
en raison du système anachronique mis en place par la France Gaulliste lorsque
le général Charles De Gaulle est revenu au pouvoir en 1958 et a décidé de
transformer les anciennes colonies et territoires de la France en membres de
l'Organisation des Nations Unies (ONU de
la France), tout dans le but de contrôler ces terres avec des cordes
transparentes ou invisibles cette fois-ci. Le Cameroun Français et le Cameroun Britanniques
du Sud ont apparemment obtenu leur indépendance et la réunification, mais les
gens ont trouvé que le nouveau pays est quasi-indépendant sous un modèle Français
de contrôle diversement décrite comme la Françafrique. Le système a traumatisé,
démoralisé, divisé et déshumanisé le peuple Camerounais au fil des ans.
Le système Gaulliste en place au Cameroun a été mis par les
architectes de la politique Française en Afrique pour exclure les nationalistes
qui militent pour la réunification et l'indépendance des territoires divisés de
l'ex-Kamerun Allemand, du pouvoir politique. Donc, les union-nationalistes qui
commandaient le soutien de plus de 80% de la population des deux territoires
des anciens Cameroun Français et les Cameroun Britanniques ont été mis sur la
touche dans la pose de la fondation du Cameroun. C'est pourquoi le système est un partenariat
d’intérêt impérial Français en Afrique (économique
et politique) autrement connu comme la Françafrique et ses collaborateurs Camerounais
(les renégats et les antinationalistes
qui n'ont jamais été opposé et qui n'ont jamais remis en question mainmise
néocoloniale du Cameroun par la France).
Le système a été efficace en infectant les esprits de
beaucoup de Camerounais; le système à réduire les Camerounais à un état de
désespoir et les attire de diriger leur énergie non pas au régime Biya et le
système, mais à leurs voisins. Le
système a élevé avec succès la corruption et la stratégie de "diviser pour
régner" en un art—le system a promu la notion de colons et indigènes; le
system a encouragé l’ethnocentrisme, le tribalisme, le clanisme, le chauvinisme
régional, le sectarisme et d'autres formes de division. Nous voyons une absence totale et complète de
la planification stratégique ou même tactique quand il s'agit de développement
économique et social de la nation. Nous
voyons une absence totale de solidarité sociale.
Pour aggraver la division et la confusion parmi les gens qui
rejettent le régime de Paul Biya et le système imposé par la France, les soi-disant
leaders de l'opposition que les Camerounais qui aiment la liberté avaient
regardé comme leurs saveurs, ont été absorbée dans le système, laissant ainsi
le peuple Camerounais en difficulté afin qu'ils se méfient des politiciens
maintenant. Nous voyons aujourd'hui que le RDPC / le régime de Biya et la
soi-disant opposition sont les deux faces d'une même pièce (le système que la France a imposé au Cameroun
autrement appelé l'establishment politique Camerounais). En ce moment, les Camerounais
piétinés sont dans un état de léthargie politique.
Lorsque Paul Biya a fait un appel pour la tenue d'élections
sénatoriales en Avril 2013, dix-huit ans après son parlement a promulgué une
loi pour créer le sénat; la plupart des Camerounais pensé que ce serait une autre
mascarade, comme d'habitude. Il n'y
avait aucune raison pour que les soi-disant partis de l'opposition avec un
semblant de représentation au parlement pour glorifier la mascarade avec leur
participation. La plupart des Camerounais connaissaient que le système
soutenait financièrement ces soi-disant dirigeants de l’opposition et que
certains d'entre eux étaient dans le gouvernement, mais les Camerounais n’ont
pas été préparés pour la mesure dans laquelle ces politiciens étaient prêts à aller à insulter leur
intelligence. Mais des accords entre le
parti au pouvoir et l'opposition ont été faits. La mascarade électorale a eu
lieu et les gens ont vu le parti au pouvoir campagne pour le soi-disant parti
d'opposition principal (social-démocrate
avant-SDF) dans certaines régions du pays, tandis que le SDF dans les mots de
son président John Fru Ndi "... un service en vaut un autre ... ", a
ouvertement soutenu le parti au pouvoir,
assurant ainsi sa victoire dans d'autres régions du pays.
Comment cela pourrait-il pu
se produire?
Les Camerounaises, un peuple qui ont été choqués
politiquement se demandent depuis la fornication ouverte entre le parti au
pouvoir et les soi-disant partis politiques de l'opposition en Avril 2013.
Pour éviter le chaos et pour assurer que le pays va avoir un
successeur de Paul Biya dans une manière lisse ou douce, les porte-paroles et
les apologistes sans scrupule du leader du SDF murmurent discrètement. Paul
Biya a fait un accord avec le SDF de remettre le pouvoir à un de ses membres,
des voix anonymes au sein du SDF font écho.
Si vous me demandez, ma réponse est claire. Ce qui devait
être une révolution Camerounaise qui a commencé le 26 Mai 1990, est devenu une
comédie politique jouée par les anciens membres du système, une comédie
politique qui a complété le cercle. Le vent du changement généré par les
politiques de Glasnost et de perestroïka de Mikhaïl Gorbatchev qui ont emporté
les régimes autoritaires en Europe de l'Est et en Afrique, et qui ont agité la
grande majorité des Camerounais dans les années 1990 pour qu'ils aient risqué
leur vie dans les rues pour exiger un changement politique, a été effectivement
contrôlé par le système. Le désir de changement que plus de 80% des Camerounais
avaient, a été détourné par le système
autoritaire au Cameroun et les soi-disant dirigeants de l'opposition. Les différents
peuples Camerounais ont été pris pour un tour.
La plus grosse erreur commise par les Camerounais, c’est que
quand la clameur de changement a commencé, ils ont suivi les Camerounais qui
n'avaient pas eu la légitimité politique comme les dissidents ou comme les gens
qui étaient contre le système. Les peuple Camerounais ont suivi les gens qui à
peine un an avant, étaient dans les échelons supérieurs du pouvoir dans le
système, mais qui à l'époque ont affirmé qu'ils avaient quitté le parti au
pouvoir et que maintenant ils opposent le système. Tous les soi-disant chefs de
ce que le monde sait aujourd'hui comme les partis d'opposition proéminent au Cameroun
(John Fru Ndi du SDF, Bello Bouba
Maïgari de l’UNDP, Ndam Njoya de l’UDC, etc.) étaient membres du parti au
pouvoir jusqu'à l'année 1990, lorsque le système a été contraint d'accepter le
multipartisme au Cameroun. Comme le
joueur de flûte, ces soi-disant dirigeants de l’opposition au Cameroun ont
attirés les peuple Camerounais vers la léthargie politique et vers le
découragement. Un tel exploit a été réalisé parce que les Camerounais libéraux, les -nationalistes, les
révolutionnaires, les démocrates et les patriotes qui avaient toujours rejeté
le système, pensaient que ces soi-disant chefs de la nouvelle opposition, ces
gens qui ont été les premiers à faire les mouvements de créer des partis
politiques, partagé la vision du «Cameroun Nouveau " que les Camerounais
se sont battus, sont morts et ont voté pour, une vision qui a réalisé la
réunification et l'indépendance de la plupart de l'ancien Kamerun Allemande (une indépendance qui n'a jamais été réel car
il s'est usurpé par le système mal qui est aujourd'hui sous la direction de
Paul Biya et ses marionnettistes Français ). Malgré le revers, cette vision réalisera la démocratie, la liberté,
le libéralisme, le progrès, la justice, l'égalité et le développement.
Fausses sont les déclarations des membres de l'opposition
compromisé que si ils n'avaient pas ouvertement embrassé le régime de Paul Biya
et le système, ce serait le chaos au Cameroun au cas où Biya quitté la scène
politique. La déclaration est fausse
parce que le système au Cameroun est autoritaire, pas autocratique.
Les régimes autoritaires sont généralement recouverts avec
une idée sublime qui pourrait être politique
(comme Stalinisme/Marxisme/Communisme, fascisme etc.) ou qui pourrait
être religieux (comme la théocratie Iranien
et la règne de Taliban théocratie etc.) ou qui pourrait être un arrangement
pour sauvegarder un intérêt (Francafrique).
Au Cameroun, le système est construit autour de la prévention de ceux
qui croient en la lutte Camerounais (les
union-nationalistes, autrement dit les Kamerunistes) d’atteindre le
pouvoir. Le système au Cameroun est une
collection de groupes d'intérêts particuliers, qui unissent les propagateurs de
néo-colonialisme Français et leurs collaborateurs Camerounaises. Paul Biya est à la tête des
collaborationnistes. Et à bien des
égards, il a agi au fil des ans comme un président absent. Pendant ce temps,
l’état a fonctionné d'une manière d’un zombie pendant sa quasi-présence. Bien que l'agencement mortifiant convient les
intérêts des marionnettistes et des bénéficiaires du système, l’arrangement a
exposé le système à des soulèvements populaires parce que, ça signifie que les
bénéficiaires du système ne sont pas clairement ou fonctionnellement organisé. Avec l'avènement des médias sociaux, la
mondialisation, la maturité des générations post- indépendance qui n'a jamais
bénéficié du système; et avec les soldats de la phase de la lutte des années
1990 qui se dissocient des dirigeants de la soi-disant opposition, le système
autoritaire se trouve aujourd'hui encore plus vulnérables. Le système autoritaire serait confronté par
une nouvelle force politique qui ne s'est jamais associé au système, une nouvelle force politique qui incarne
l'esprit du vingtième siècle de la lutte
pour "DIE NEUARTIG KAMERUN" ou
"LE CAMEROUN NOUVEAU" qui a confronté le contrôle colonial d’Allemand
pendant les premières années du siècle dernier,
une lutte qui a confronte la duplicité Française dans le pays dans une guerre qui a décimé
plus de la moitié d'un million des citoyens Camerounais; le système autoritaire
serait confronté par une nouvelle force qui embrasse l'héritage de ceux qui ont
combattu et ont voté pour l'indépendance et
la réunification du Cameroun. Cette nouvelle force rejette toutes les
valeurs du système que la France a mit en place pour contrôler le destin de Cameroun,
un système vieux et mal de six décennies, qui ne peut que mener le pays en
abîme.
Maintenant que les collaborateurs ouverts et cachés du
système s'embrassent ouvertement (le parti au pouvoir et les soi-disant chefs
des partis dits d’opposition) à partir de la récente mascarade sénatoriale, le
système encourage la création de groupes d'élite de bénéficiaires qui voient ou
pensent que leur survie politique et économique repose seulement sur la
continuation ou la subsistance du système.
Nous observons le développement d'un système capable qui supprime toute
prétention du pluralisme politique limité; nous observons l'enracinement d'un
système qui considère ouvertement les peuples Camerounais comme son ennemi
numéro un. Un tel système devient alors
autocratique.
En un mot, les soi-disant partis politiques d'opposition du Cameroun
qui sont en symbiose avec le système autoritaire sont complices du système impose
par la France sur les peuples Camerounaises, dans sa transition progressive
vers un système autocratique, assurant ainsi sa survie sous une forme
morphée. Ce système qui change
rapidement à besoin d'un homme fort pour être vraiment autocratique. Ce serait quelqu'un qui a les mains sur le
travail d'agir en tant que président, quelqu’un que les marionnettistes Françaises
souhaitent présenter comme le despote bienveillant.
C’est la responsabilité de Camerounais des générations des
'après-indépendance' à rejeter quelle que soit la farce que le système
présentera comme le changement n'importe quand le pouvoir de l’Etat passera à
la génération d'après Paul Biya. En
absorbant les anciens membres de son parti qui, depuis des décennies, se sont
identifiées avec l’opposition, Paul Biya tente de donner aux peuples Camerounais
et le reste du monde l'impression que l'opposition du Cameroun est en harmonie
avec sa vision de l’évolution politique nécessaire pour le Cameroun. Malheureusement, le système n'a pas l'intention
de laisser la majorité des Camerounais pour participer ou d’avoir un mot à dire
sur l'évolution politique du Cameroun.
Le Cameroun Nouveau sera fondé. Pas par les bénéficiaires du système (passé et présent), mais par ceux qui ont
toujours rejeté la mafia politique Camerounais comme un mauvais système
imposé par la France qui a été conduit Cameroun
en abîme.
Mais alors, à la fondation du Cameroun Nouveau, les Camerounais
patriotique, impartial, honnêtes, progressistes et démocratiques, auraient à
réconcilier un pays où:
·
Le système impose par la France a fait en sorte que la
plupart de ses figures historiques qui ont consacré leur vie et qui sont même
morts pour la cause de la réunification et l'indépendance du Cameroun ont été
tués et enterrés comme des chiens,
·
Les corps de certains de ces personnages historiques qui
s'est enterrés à l'étranger sont absents,
·
Quelques-uns des personnages historiques qui ont pensé qu'ils
pourraient contribuer à la consolidation de la nation ont été mis à l’écart,
intimidé et humilié par le système,
·
Son premier chef d'État est mort et est enterré à l'étranger,
·
Et où les gens ont été insultés pendant plus de cinq
décennies par les régimes d’Ahmadou Ahidjo et de Paul Biya en utilisant un
système imposé par la France, un système rejeté par la grande majorité des Camerounais,
un système qui a semé les graines de la division, de la corruption, de la médiocrité,
de la peur et du découragement qui hantent le Cameroun aujourd'hui.
Les idéaux du Cameroun Nouveau qui ont été ourdi par les
nationalistes historiques du pays et au fil des ans par les Kamerunistes (les union-nationalistes) post- indépendance
sont la seule chance ou espoir pour l'avenir du Cameroun. Le Cameroun Nouveau est le seul noyau autour
duquel le Cameroun peut se réconcilier
avec son passé turbulent; c'est le noyau que toutes les couches de la société Camerounaise
peuvent se connecter dans le processus de construction de la nation; c’est le
seul noyau autour duquel un Cameroun libre, démocratique, libérale, juste et
prospère peut-être construit. Le Cameroun
Nouveau conduirait le pays à prendre sa place méritée dans la région de l'Afrique
Centrale, l’Afrique dans son ensemble et le monde en général. Cela ne serait possible que si nous limitons
l'héritage des régimes d’Ahmadou Ahidjo et de Paul Biya qui incarnent le
système suffocant que la France a imposé au Cameroun. Pour réaliser ce but, on
doit jeter le système à la poubelle de l'histoire.
Janvier
Tchouteu
06/04/2013