Si vous posez cette question aux tous les Camerounais avec une profonde
perception du monde que “Qui est le chef d'état le plus malhonnête et illusoire
en Afrique?”, la réponse de la majorité absolue serait évidente. Notre
locataire dans le Palais de l'Unité dans le quartier d’Etoudi à Yaoundé est le
chef de l'État le plus décevant.
Le deuxième président du Cameroun est un mauvais chef de l'État. Son règne
depuis longtemps a détruit la plupart des fondations du mode de vie et des
valeurs progressistes du peuple Camerounais. Sans principes, sans
scrupules et sans vision, il était suffisamment insaisissable durant ses
premières années comme le président du Cameroun parce que Il a réussi à convaincre de nombreux de ses
citoyens à le considérer comme un leader brillant. Oui, il s'est fait brillant
et attrayant pour les peuples que qu'il gouvernait, même malgré ses véritables
convictions qui étaient rétrograde,
égocentrique et traître vis-à-vis du bien-être du peuple Camerounais
Le deuxième président Camerounais est un démagogue qui a harangue concernant
son New Deal de rigueur et de moralisation, quand il n’a jamais eu l'intention
de travailler pour l'intérêt de tous les Camerounais. Il est arrivé au pouvoir avec
le seul but de défendre les intérêts de son patron (la mafia dans
l'establishment français qui dirige la politique Africaine pour la France),
pour améliorer le bien-être et la position sociale de la clique qui est compose des hommes d'affaires sans
scrupules, des politiciens, des fonctionnaires et surtout le groupe ethnique de
sa naissance.
Le deuxième président Camerounais est déshonorant, et il est un homme
sans convictions. Il a commencé ses manifestations politiques comme un
nationaliste Camerounais d'orientation socialiste, sous la bannière de l'Union
des Populations du Cameroun (UPC), mais bientôt sans hésitation, il a jeté son
vêtement nationalistes pour les haute postes que le system impose par la France
a offert aux renégats de la lutte Camerounais par le régime le système qui avait a sa tète au Cameroun le
régime Anglophobe de Ahmadou Ahidjo, une marionnette de la France. Ayant transféré sa fidélité à la gloire de la puissance nue dans manifesté par le régime
soutenu par la France qui supervisait le génocide des forces
nationalistes au Cameroun, Paul Biya a rapidement gagné le cœur de ses patron
pour devenir le Premier Ministre en 1972, et plus tard le président du Cameroun
en 1982. Après cela, il a versé tous les aspects de ses liens avec le
nationalisme Camerounais, et il est devenu un Francophile et manipulateur des
anglophones Camerounais. Aujourd'hui, c’est clair aux yeux de tous que Paul
Biya se présente comme le chef des forces renégats qui peuvent éventuellement
tuer le nationalisme Camerounais et mener la nation vers l'abîme, en niant le
pays la réalisation de son rêve centenaire de l'unité, l'indépendance, la
prospérité et les opportunités ouvertes.
Paul Biya est sans but, sans visage, et il est paranoïaque. Ses longues années en pouvoir et
la vacuité de son règne ont été masqués par la mafia FrancAfrique et ses
collaborateurs Camerounais. Pendant ses
premières années en tant que
chef de l'État, Paul Biya a parlé de rigueur
dans la mise en œuvre de l'éthique du travail, les règles, les lois, la liberté, droits de l'homme progressistes et les réformes économiques ; quand il n'a jamais voulu voir le moindre changement dans le système anachronique, que il a
hérité de son prédécesseur Ahmadou Ahidjo, un système corrompu que la France a
imposé sur le Cameroun. Biya n'a jamais eu la moindre intention de changer le
cours de la dictature, la corruption, la kleptomanie et de division qui était
la règle du système et les attributs du pouvoir et des richesses que le système
offrait. Une décennie après que il a prononcé le mot rigueur, le Cameroun qui avait le deuxième
pays mondiale sur la base de taux de croissance économique, après la Corée du Sud en 1986 (même
s'il a été à la traîne de ses vrai potentialités à l'époque), est aujourd'hui
parmi les pays en Afrique avec l'économie qui est le moins prometteur.
La rhétorique de moralisation de
Biya est une insulte inacceptable pour l'humanité. Alors même que il a promis de rendre a son règne une face morale où la gouvernance
serait basé sur un programme pour améliorer la bonne conduite des affaires
publiques, sociales, économiques et politiques, il a trahi ses promesse en
présidant le pire dégénérescence d'un pays Africain qui n'est pas ravagé par la guerre.
Malheureusement pour les Camerounais, Paul Biya est un de ces produits
regrettables de la nature qui ont la force de caractère qui est une négation de
ce qu'on appelle un bon leadership. Ca ne dérange pas Paul Biya du tout que ses
mauvais actions et son règne ont réduit les Peuples Camerounais au niveau des mendiants,
ont érodé leur sens du but, ont divisés leurs rangs, et ont leur rendu dans les bras
de découragement, ont dénigré leur influence dans la politique nationale et
internationale, et ont encouragé la corruption à la forme d'un art. Et surtout,
il est commode de Paul Biya et ses objectifs qu'il a enveloppé le Cameroun dans
l'embrayage et les caprices de la France.
De origines paysannes, Biya a appris, mais il à mal assimilé les
valeurs aristocratiques. Le triste résultat de cela est son mépris injustifiés
des masses d'où il avait ses origines. Comme un homme de savoir élevé, c'est
regrettable que, malgré ses longues années de service dans le système, il
possède encore tous les traits d'un pseudo-intellectuel et un pédant. Et elle
est due à la conscience de sa faiblesse intellectuelle qu'il a développé un
complexe d’infériorité masquée. C'est pourquoi il rejette, snobe et se dérobe à
partir des bonnes idées de ses supérieurs intellectuels.
Le Cameroun est le seul pays en Afrique où les combattants de la lutte
pour sa libération―les nationalistes ―n'ont jamais été autorisés ou acceptées à la tête du pouvoir. Le Cameroun
est le premièr pays en Afrique où la France s'est profondément impliquée dans
le génocide de ceux qui ont résisté de son mensonge (près d'un million de morts
dans la guerre 1956-1970 contre l'UPC). La France a fais ca avec la
collaboration de Ahmadou Ahidjo; le Cameroun est le seul pays en Afrique qui a
été le plus cruellement violée par la France dans l'époque contemporaine. Même si les Camerounais sont l'une des peuples
les plus dynamiques du continent Africain, ils n'ont jamais été libre pour exploiter
leur potentiel et de construire leur pays en une grande nation que le Cameroun
mérite vraiment d'être. Au lieu de cela, les Camerounais ont été abaissés par
un complot ourdi pendant les années que Jacques Foccart était le
dirigent de la politique Française sur
l'Afrique, une conspiration qui a effectivement utilisé les collaborateurs Camerounais,
comme Paul Biya, en particulier.
Ca ne dérange pas le deuxième président Camerounais que le peuple Camerounais
se suffoquent dans sa servitude. Il a perdu le contact avec les masses Camerounaises,
la réalité Camerounaise et la vie dans ses différentes formes. Cependant,
contrairement à son homologue psychopathe, l'empereur de Rome Néro (Nero Claudius Caesar Augustus Germanicus), il a maîtrisé un art―l'art de garder le
pouvoir, malgré l'opposition de ses citoyens. Et comme la plupart des
mégalomanes et des expérimentateurs, il continuerait à expérimenter sa théorie
de la rétention de pouvoir, en dépit de son impopularité. Il ne s'inquiète pas que le peuple Camerounais
sont traînés vers l'abîme dans le processus.
Biya effectue sa théorie de la rétention de pouvoir sur le peuple
Camerounais, une expérience ou essai qui va certainement détruire le meilleur
de nos forces créatrices, si nous le laissons à persister. Par ailleurs, en
continuant pour rester au pouvoir, Paul Biya et le système que la France a
impose sur le Cameroun vont détruire la foi que nous avons dans notre rêve ;
et le pire de tout, ils vont détruire la mère du progrès, qui
est l'espoir que le peuple Camerounais de doivent pas
perdre. Le triste résultat de la
catastrophe du règne de Biya serait la mort du
Cameroun. Pour l'esprit rationnel
et l’avenir du Cameroun, c'est inacceptable. Le triste résultat de la catastrophe de la
règle Biya serait la mort du Cameroun.
Peut-être pour un peu plus longtemps, le spectre de vie qui représente
le deuxième président Camerounais va continuer à hanter le peuple―traîtresse dans ses façons, impitoyable dans ses méthodes et nonchalant
dans ses vues. C'est notre tâche inévitable, si ce n'est que pour le bénéfice
de nos enfants, que nous nous levons, pour reprendre notre dignité, notre espoir et
l'avenir de lui et de ses mécènes. Puis en suivant le cours naturel de
l'histoire, nous limiterons lui et son héritage à la poubelle de l'histoire.
28 Février 1995
Janvier Tchouteu
Janvier Tchouteu, auteur de «
PAUL BIYA du Cameroun: Plus de Trois Décennies de Mauvais Gestion sous le Système Anachronique imposé par la France (French Edition)
French Edition | by Janvier Tchouteu
Depuis 1995, date de l'ecriture de cet article, on se demande ce qu'on a fait pour reparer les maux causes par Mr. Biya. En lisant ceci, je ne vois rien de nouveau que tout le peuple connait. Ce ne sont pas seulement the anglophones qui soufrent mais aussi les francophones et surtout les peuple Bamilike. Unissons-nous formons un parti unique qui puisse gagner les elections. Cooment peut-on gagner contre undictateur dans une election de 50 candidats? Peut-etre sommes-nous coupables a partir de notre ignorance, divisions tribales et manque de vision et de plan national?
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