Wednesday, April 13, 2016

LES POLITICIENS ET LES REVOLUTIONNAIRES DANS LA LUTTE POUR LE CAMEROUN NOUVEAU


Les politiciens ne sont pas ceux qui sont destinés à changer un système et de prendre un pays sortir d'une impasse et le porter à l'avenir. Tel est le travail des révolutionnaires.

Les politiciens fonctionnent dans des systèmes établis et faire le travail de la politique politicienne pour défendre, préserver ou de promouvoir certains intérêts, qu'ils soient individuels, groupe, ethnique, régionale, linguistique ou nationale, sur la base des phrases vides ou par une formulation clairement définie pensée (idée ou un concept).

Révolutionnaires d'autre part sont ceux qui contestent un système, avec l'intention de le faire descendre et mettre en place un nouveau système qui servirait l'intérêt de la majorité battue (la souffrance ou en difficulté des masses). Dans la cause de faire tomber le système, les révolutionnaires n’attendent pas à bénéficier ou prospérer de la lutte. Au lieu de cela, ils sont prêts à tout sacrifier pour la lutte.

Le plus triste est que, bien que la lutte Camerounaise pour changer le système est une lutte révolutionnaire, la plupart des dirigeants dans les partis soi-disant opposition parler de la politique et des récompenses attendues, alors même qu’ils sont encore engagés dans la lutte pour changer le système. Voilà pourquoi la plupart d'entre eux compromettre les idéaux de la lutte avec des excuses que ' «il est impossible de vivre sur la politique propre comme une véritable opposition au Cameroun." Il y a et il y a eu des Camerounais qui ont généreusement donné de leur valeur à la lutte, des Camerounais qui se sentait que c'était déshonorant d'utiliser la lutte pour obtenir des avantages personnels. Ils ont été et ils sont les union-nationalistes Camerounais et les révolutionnaires Camerounais.

Au cours de mes années d'implication dans la lutte, je me suis finalement rendu compte que le système (les régimes Ahidjo-Biya soutenus par la mafia politique en France qui est un groupe qui contrôle des affaires Africaines pour le pays Gaulle) craint et respecté ces révolutionnaires et syndicaux-nationalistes (nationalistes civiques) pour leur aupuisticité, inébranlable nature et de l'intégrité. Mais assez étrangement, les politiciens qui prétendent être dans l'opposition conçu une haine pour ces révolutionnaires et union-nationalistes syndicaux juste parce que ces révolutionnaires et nationalistes civiques (union-nationalistes) sont aupuistiques et ne sont pas comme eux, et parce qu'ils regardent avec horreur à la tromperie des politiciens qui essayent de tirer profit de la politique qui ne fait pas de progrès au Cameroun et, ce faisant, compromis la lutte et trahi les aspirations des masses en lutte.

Curieusement, les partisans du changement échouént dans cette phase de la lutte (1990-2002) parce que les politiciens ont mené la lutte pour changer le système (une demande révolutionnaire) au lieu des révolutionnaires et union-nationalistes qui sont beaucoup moins susceptibles d'être compromises par les valeurs négatives du système anachronique imposé par la France depuis 1958.



Janvier Tchouteu vendredi, 15 Avril 2005

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